
Texte créé par le Politophore
Mesdames, mesdemoiselles, messieurs,
Tout d'abord, je souhaite avoir une pensée pour tous ceux qui sont victimes de la solitude, de la maladie, de la détresse.
Je constate que la pauvreté qui s'accroît a pour conséquence une dégradation du tissu social, tout autant dans les zones dites sensibles qu'en milieu rural.
Notre appel à la prudence n'a reçu aucun écho. Est-il besoin de se demander pourquoi ? Il faut avoir le courage de regarder les réalités en face : encore faut-il être capable de renforcer la cohérence de la politique nationale.
Dans cet ordre d'idées, ma conviction profonde, voyez-vous, c'est que la pauvreté qui s'accroît doit s'intégrer à une vision plus globale, en donnant toute sa place au dialogue social, avec des projets attractifs s'inscrivant dans une dynamique cohérente.
Pour terminer, je voudrais rappeler une parole de Coluche qui disait : « Si tous ceux qui n'ont rien n'en demandaient pas plus, il serait bien facile de contenter tout le monde ». Si vous avez besoin de quelque chose, nos adversaires vous expliqueront comment vous en passer.
Ensemble comme un grand peuple uni et fraternel, nous sommes tous, chacun à sa mesure, les artisans du changement : demain commence aujourd'hui !
Mesdames, mesdemoiselles, messieurs, je vous remercie de votre attention.